« Comme beaucoup de Français, je ne comprends plus les décisions du président de la République : il y a eu la dissolution et depuis il y a des décisions qui donnent le sentiment d’une forme d’acharnement à vouloir garder la main », a fustigé Gabriel Attal, invité du « 20 heures » de TF1.
Interrogé sur les quarante-huit heures dont dispose Sébastien Lecornu pour mener « d’ultimes négociations », selon les mots de la présidence, le secrétaire général de Renaissance et ancien premier ministre assure qu’« évidemment, [il] participera à ces discussions », appelant à un changement de méthode « afin de donner le sentiment qu’on a compris qu’il faut partager le pouvoir, c’est ce que les Français nous ont dit au moment de la dissolution »
Il réitère son souhait de voir nommer un négociateur indépendant des partis politiques qui « doivent accepter de rentrer dans cette logique », appelant à « une discussion sincère ». Selon Gabriel Attal − qui ne souhaite ni destitution ni dissolution −, Emmanuel Macron doit comprendre que « le pouvoir est au Parlement ». Il veut que les partis politiques s’accordent sur un « compromis sur le fond » avant qu’un premier ministre soit nommé.
Oui, Gabriel on sait que tu veux être président un jour.
C’est un peu tard pour se rendre compte des failles de ton mentor Macroniste.
Attal rêve d’être le Macron de Hollande de Macron, en un sens il reste finalement assez fidèle à son mentor.
The human centipede.